Nous vous remercions de votre compréhension. Votre GSK Société d’histoire de l’art en Suisse SHASPavillonweg 2, CH-3012 BerneTel. +41 (0)31 308 38 38Fax +41 (0)31 301 69 91gsk@gsk.ch, www.gsk.ch
Nous vous remercions de votre compréhension. Votre GSK Société d’histoire de l’art en Suisse SHASPavillonweg 2, CH-3012 BerneTel. +41 (0)31 308 38 38Fax +41 (0)31 301 69 91gsk@gsk.ch, www.gsk.ch
Depuis 1935, près de cinq millions de guides sont parus.Ce numéro 950, publié en collaboration avec les CFF, met en lumière l'importance architecturale d'un lieu qui fait partie de notre vie quotidienne. >> Pour en savoir plus sur le guide 950 (seulement en allemand)
Sous la direction du professeur Dave Lüthi A l’occasion de la 5e édition de la manifestation Lausanne Jardins, la Société d’histoire de l’art en Suisse SHAS publie un ouvrage préparé par des étudiants de l’Université de Lausanne. >> eShop
L' exposition spéciale a été réalisée en collaboration avec l'Office fédéral des constructions et de la logistique OFCL.
Sujet peu abordé par l'historiographie helvétique, le château, comme «institution» et comme monument, est pourtant indissociable du paysage politique et culturel suisse au XVIIIe siècle.Le colloque «Vie de château en Suisse au XVIIIe siècle» qui aura lieu du 20 au 22 novembre 2014 au Château de Pran
Les bâtiments historiques ont aussi une importance remarquable dans le quotidien de la population résidente suisse : pour la moitié d’entre elle, la valeur architecturale d’un logement ou de l’environnement est un critère « plutôt important » ou « très important » dans leur recherche de logement, et
Première nouveauté: la mise à jour permet de repérer si un bâtiment possède le Label «Patrimoine mondial - UNESCO» ou s’il est classé «Monument d’importance nationale».
Vous trouvez les portraits de:• Nicole Bauermeister, directrice de la Société d’histoire de l’art en Suisse SHAS• Roger Fayet, directeur de l’Institut suisse pour l’étude de l’art ISEA• Anne Fournier, co-présidente de la Société suisse du théâtre SST • Cordula Kessler, directrice du Cent